ex-p-bn9.jpg (8001 bytes)
Crypto 62 Tintin
L'Informé Rackham le Rouge

CHAPITRE 4 : QUI A PEUR DE RACKHAM LE ROUGE ?


Celui-ci c’est un chapitre qu’offrira au lecteur motifs pour suivre cherchent dans l’aventure éléments en liaison avec la trame cachée et a ton avec le premier et le deuxième chapitres, c’est à dire, en liaison avec le fil d’Ariane et cela qui représente. Après qu’on avait découvert le fil, et pourtant le secret papier protagoniste des signes geminis, cancer et leo dans « Le trésor de Rackham le Rouge », (qu’on verra meilleur dans les prochains chapitres, dédiés à leo, et à cancer et geminis en cet ordre), on l’a laissé en repos pendant un chapitre. Maintenant, nous allons à le réveiller.

Étant présents dits signes nous pouvons avoir en considération ses constellations correspondantes. Signe c’est chacune des douze parts par les qu’on divise la durée de l’an, et c’est constellation l’ensemble d’étoiles qu’origine son signe respectif. 1 À la carte des constellations on peut trouver jusqu’à 88 ( zodiacales et non zodiacales), les limites des quelles sont marquées conventionnellement. Le zodiaque traverse la carte par le centre et d’extrême à extrême, suivint le cours d’une ligne ondulante que signale le chemin du soleil à travers des étoiles, appelée écliptique ( c’est ce chemin que donne le sens particulier aux constellations du zodiaque, auquel on a d’ajouter le propre cours des planètes), et c’est ici où on peut localiser les trois constellations que nous intéressent, voisines les trois : Leo, Cancer et Geminis.

C’est ici où je voulais vous emmener, pour pouvoir constater vous-mêmes que, justement dessous d’elles, de geminis concrètement, nous pouvons trouver une constellation laquelle est franchement familière pour nous : UNICORNE, OU LA LICORNE. Et si nous suivons baissant, nous trouvons une autre constellation, Canis Major, qui ne nous dit pas rien…, mais oui le nom de son étoile principal ou alfa (a) : SIRIUS.

"Guia de las Estrellas"
de Pierre Sizaire
Ed. Llagut, 1992

Guia de las Estrellas


Unicorne, La Licorne, c’est le nom du bateau de l’ancêtre du capitaine Haddock : le chevalier François de Hadoque, comme vous savez bien sûr. Sirius est le nom du chalutier dans lequel le capitaine et ses compagnons y ont embarqué à la recherche du trésor, et il apparaît détaché coup sur coup pendant l’aventure, montrent son nom à la proue. Le Sirius existait déjà dans l’univers Tintin, donc il fait son apparition à « L’étoile mystérieuse » 2 (l’aventure précédente de la saga de Rackham le Rouge), lequel nom semble une allusion à tout ça qu’était par venir dans les suivants aventures.

Ainsi donc, nous nous trouvons avec qu’Hergé a cherché dans la carte des constellations l’inspiration pour bâtir la structure de la trame cachée et de la propre aventure. Le voisinage de ces cinq constellations référencées est preuve ajoutée de l’intention d’Hergé de doter à la trame occulte d’une importance insoupçonnée et réelle, et tout ça ouvre la voie au débout d’une danse en l’honneur du ciel et les étoiles. Le suivant pas de cette danse est un bond dédié au terrible pirate Rackham le Rouge.

Qui est-ce qu’il a peur de Rackham le Rouge?


Ce pirate, ainsi comme le bateau La Licorne, a son papier vedette (stellaire serait meilleur) dans la première part de la saga, « Le secret de La Licorne ». Celle-ci commence à se publier dans Le Soir le 11 juin de 1942, toute fois qu’avait finit «L’étoile mystérieuse». Pour tant, si l’apparition publique du pirate est après de cette date, nous pouvons déduire que Rackham le Rouge est né déjà vers le milieu du 1942, et avant sûrement.

Rackham
est donc le prénom d’un pirate crée par Hergé en 1942. Rackham est aussi, le nom d’un très bon illustrateur anglais, connu parmi les amants de littérature infantile par ses illustrations de livres comme Rip Van Wincle, Peter Pan, Alice in Wonderland, œuvres de Andersen, et d’Edgar Allan Poe… Arthur Rackham est né à Londres en 1867, et sa mort est… en 1939 ! Trois ans avant la «présentation» du pirate Rouge, donc nous ne savons pas la date exacte de création (évidentment, avant sa présentation) du pirate appelé Rackham, comme l’illustrateur. À la coïncidence de noms on a d’ajouter donc, la proximité réelle, pas relative, des dates de mort et naissance des deux personnages. Il commence à prendre forme l’hypothèse d’un hommage de l’illustrateur belge à l’illustrateur anglais, hommage que personnellement je souscrirais sans doute. Il est plus que logique supposer qu’Hergé, illustrateur de livres infantiles ou de « Le petit Vingtième », entre d’autres, en même temps que dessinateur de Tintin, connaisse perfectement la belle et fameuse œuvre de Arthur Rackham, présent en presque chaque bibliothèque familière en l’Europe bourgeoise de l’époque. De fait, il y a illustrations où l’œuvre des deux paraît se confondre :

Et suivint la tonique d’utiliser étoiles et constellations pour appeler protagonistes de l’aventure, nous trouvons une troisième coïncidence qui fait se mettre en liaison le pirate et l’illustrateur. Pour l’entendre, nous devons savoir ce qui suive ; un des aspects qui distinguent les étoiles est son couleur : Sirius est blanche (sa lumière est blanche), en tant que ce couleur est-ce de la plus part des étoiles, mais il n’y a de bleues, vertes ou de franchement rouges, comme Antares (a de Scorpion), Betelgeuse (b de Orion), Aldebaran (a de Taureau)…et Artus, ou Arthur, a du constellation du Bouvier, la sixième étoile la plus brillante du ciel ( quelque texte la qualifie d’orangée). Ainsi donc :

004-02.jpg (77792 bytes)

004-03.jpg (49126 bytes)

Rackham illustrateur = Rackham pirate
Mort en  1939 Þ Né en  1942
Arthur (étoile rouge, de
la constellation du Bouvier)
=

le Rouge

La propre constellation du Bouvier est si près du group des cinq qui marquent le premier pas de la danse des étoiles, qu’elle peut bien marquer le deuxième, autour des cinq. Il n’y a pas qu’une petite constellation, Bérénice, entre Bouvier et Leo.

 


004-04.jpg (59492 bytes)


Je ne crois pas que vous nécessitez plus de preuves pour croire qu’il s’agit d’un hommage, sous la forme du pirate appelé Rackham le Rouge, à la figure de l’illustrateur Arthur Rackham par part d’Hergé. C’est une belle forme de rendre-lui tel hommage, et comme j’ai déjà commenté, je suis complètement d’accord pour cette intention, donc je connaissait et j’apprécie beaucoup son œuvre, à travers d’éditions des contes d’Andersen, de l’Ed. Joventut, ou « La bella dorment » de l’Ed. Aymà, les deux en catalan. Et si vous voulez une autre preuve (circonstancielle toujours, mais si raisonnable que les autres) de cette hypothèse prenez-vous attention : Il y a un autre nom, avec lequel est connue la constellation du Bouvier, et ce nom apparaît subrepticement, pas a « Le Trésor… », mais avant, à « le secret de la Licorne » et pourtant, simultanément à la création du pirate de l’étoile rouge et donc, du présumé hommage. Vous pouvez chercher donc ce nom, qu’est en liaison avec le nom de « bouvier », c’est à dire « qui emmène les bovins »:

Quel est donc, l’autre nom du Bouvier, ce qu’apparaît subrepticement à   « Le secret de la Licorne » ?
Je vous défie à le trouver.

Pour vous faire une plus que bonne idée sur l’œuvre et l’admiration que réveille Arthur Rackham, vous pouvez visiter les suivantes webs, vraiment intéressants :

<http://www.angelfire.com/ar/ArthurRackhamSociety/ars02.html>
C’est la page de l’Arthur Rackham Society, qui publique une revue d’information du monde de l’illustrateur, et site a États Unis.

<http://www.bpib.com/illustrat/rackham.htm>
Une belle page avec illustrations, la biographie et bibliographie de l’auteur.

<http://www.bugtown.com/alice>
Un recueil des illustrations d’ «Alice in Wonderland», de Lewis Carroll.

<http://www.pitt.edu/~enroom/illustrators/rackham.htm>
The Elizabeth Nesbitt Room, dédié à la littérature infantile dans la web de l’Information Sciences Library, de l’Université de Pittsburgh.

<http://www.gerdesdesign.com/fairies.htm>
Une bonne selection d’images.

 

(Pas à suivre, malgré qu’il manque encore ajouter trois chapitres en plus. Si Dieu le veut, s’il peut être, je reprendrai cet informé au solstice d’hiver, le 22 décembre de l’an 2000, premier jour de Capricorne et après de Sagittaire, en ce même web)



1Lorsqu’on parle de l’origine, on se réfère à le fait de qu’actuellement, les signes et ses constellations no coïncident pas au temps. Lorsqu’un signe est en cours, le soleil croise la constellation précédente á la que correspond selon le signe, en vérité. Il y a un désajustement de presque un signe entier, et le soleil n’est pas le coupable de ça, bien sûr. C’est en raison de la précession des équinoxes, comme s’appelle le phénomène qu’est à l’origine de ce fait. Il s’agit d’une avance annuelle de l’instant de l’équinoxe, avance produite par la rétrogradation du point équinoxial, et tout ça provoqué par un mouvement conique très lent de l’axe de rotation terrestre autour d’une position moyenne de la même. Qui dit équinoxe (de printemps et d’automne) dit solstice (d’été et d’hiver) ; en définitive il y a un désajustement parmi les signes et les constellations respectives. À ce sujet, les astronomes défient les astrologues à se défendre, puis qu’il n’y a pas correspondance parmi les signes avec ses caractères et la situation du soleil dans la constellation que donne le nom au signe, lorsque ce fait est à l’origine de l’interprétation astrologique de la vie.

2Le Sirius existe, au moins à la version actuelle de « L’étoile mystérieuse », et pour tant, avant de son apparition à « Le trésor… »



Index

Arrière

Suivant